Cabosse ou la particularité de Fanny Corbasson Vaucluse Matin: Véritable rayon de soleil, à l’énergie débordante, Fanny Corbasson déroule le fil de sa vie un peu particulière et invite les spectateurs dans l’intimité de ses émotions universelles. Un spectacle tendre, drôle et sincère qui offre une belle leçon de vie. Les arts liants: Un bel hymne à la vie. L’écriture de Fanny Corbasson est fine délicate et ciselée. Les touches de poésie et d’humour renforcent davantage le propos, elle joue avec une rare et précieuse simplicité, et le rire se mêle à l’émotion. Un spectacle émouvant et authentique joué et écrit par une comédienne au charme pétillant qui donne à son personnage enfant toute sa complexité. Fanny Inesta Les sorties de Michel Flandrin: La Princesse un peu tordue. Cabosse ou l’histoire d’une petite fille née de guingois. Fanny Corbasson adapte son récit autobiographique, qu’elle interprète dans un tonus de tous les instants. Dans l’inventaire des dommages collatéraux de la remise aux normes, Fanny Corbasson déploie un sens du distancié et un art consommé de l’euphémisme. Cabosse ou la particularité est un récit d’apprentissage où la vitalité se pare d’une joyeuse subtilité. VivantMag: L’écriture de Fanny Corbasson est agréable, le jeu est fluide. Et le spectacle est une fort agréable proposition propre à susciter la réflexion sur la normalité, la beauté, les différences… RegArts: Ce regard sur l’enfance est juste, plein de gentillesse, de finesse et de délicatesse. La comédienne incarne à merveille cette petite fille, elle se représente avec beaucoup de naturel, elle nous montre que les particularités ne sont pas des singularités qui placent son possesseur à part et le marquent au fer rouge. C’est vif, tonique enjoué. Du très beau travail loin de la majorité des fadaises pour enfants qui peuplent les scènes trop souvent. JM Gauthier TEVCA: La comédienne incarne à merveille « Cabosse » particulièrement sur le registre de la petite fille avec spontanéité et simplicité. Elle nous fait découvrir son monde intérieur et sa joie de vivre malgré le handicap. Avec brio, elle passe du monde de l’enfance à celui de l’adulte avec une aisance remarquable alimentée par une mise en scène originale. A voir en famille ! Courez-y ! Libre-théâtre: Un spectacle émouvant sur la différence qui constitue l’identité de chacun de nous, et donc sur l’acceptation de nous-même qui seule nous permettra de vivre pleinement notre vie d’adulte. JP Martinez
La tête en friche de Marie-Sabine Roger La Provence: Brillamment incarné. Un émouvant conte philosophique. Il y a des rencontres qui font grandir, La Tête en friche est ainsi de celle qui reste en mémoire. A. José RCF Vaucluse: Pur merveille de tendresse et d’humour. Une interprétation tout en nuance. Une belle découverte ! Un spectacle fort. M. Chauvaux RegArts: Magnifique ! Une pièce à voir absolument c’est un pur moment de bonheur. JM Gautier Libre théâtre: Un spectacle tendrement drôle, portés par deux merveilleux comédiens. À ne pas manquer. JP Martinez Le Dauphiné libéré: Magnifique spectacle. Quel joli moment de temps suspendu, tout empreint d'amour et d'émotion, un joli moment d'humanité. L.Perrin La Montagne: Un authentique moment de bonheur! Rires et acclamations.
Le mariage de Figaro Beaumarchais Le Dauphiné libéré : Gilles Droulez gère avec maestria cette cavalcade éperdue où rires et sourires dissimulent l’issue pathétique d’un monde où se consument les privilèges que certains croyaient immuables. Daniel Mayet Libre théâtre : Une comédie qui prête à rire, tout en donnant à penser. Un spectacle à ne pas manquer. Ruth Martinez La Provence : Le Mariage de Figaro peint la satire d’une époque qui par ses absurdités et ses injustices résonne encore et toujours avec la nôtre. Auriane JOSE
L’école des femmes Molière Le Figaro : le meilleur du OFF! La mise en scène de Gilles Droulez, qui campe un Arnolphe tour à tour drôle, pathétique et émouvant, fait très bien entendre le texte. Le petit chat est mort mais Molière est bien vivant. Etienne Sorin Le Dauphiné libéré : Un Molière enthousiasmant ! Cinq comédiens de talent pour une réjouissante farce derrière laquelle, pourtant, un drame se cache, celui de l’enfermement physique, moral et intellectuel de la femme. J. Coudène Reg’art : L’École des femmes, un Molière bien actuel. Gilles Droulez campe un Arnolphe désopilant face à un François Tantot en Horace tout en légèreté et musicalité. La compagnie les affamés assure une transmission avec succès. On aime. JM Gautier La tribune : «Le petit chat est mort» Un Molière resté dans toutes les mémoires, mais revu et revisité pour offrir un moment bourré d’énergie, d’idées, d’humour et de trouvailles. Une véritable odyssée sans cesse renouvelée que l’on a réellement redécouverte. Vertige du temps pour tant et tant de modernité.
Fa'a'amu, l'enfant adoptif Lombardot la Tribune Seule sur scène, dans un décors épuré, Fanny Corbasson fait preuve d’un talent extraordinaire pour exprimer des sentiments divers. De la tristesse à la rage ou la douleur qu’elle ressent à la lecture de la lettre de son fils adoptif qui lui exprime son rejet, à l’incompréhension ou à l’humour, elle modifie sa physionomie, son ton, son langage, dans une mise en scène adroite et fouillée de Gilles Droulez..» Jean Sauvy le Dauphiné libéré Une vraie prouesse théâtrale! Seule sur scène. Un monologue poignant, sans concession mais avec en fil de trame un amour indéfectible. Le propos est universel, c'est celui de la relation qui unit tout parent à tout enfant. Le texte de Roger Lombardot est très fouillé, ouvrant de nombreux tiroirs sur des points de vue multiples, offrant à la comédienne une palette de jeu très ouverte lui conférant ainsi une présence inouïe sur scène.» Claudine Mahey,
Variations énigmatiques de E-E Schmitt L’info tout court : Avignon 2019 – Un huis clos palpitant - Une interprétation brillante. Qui aime-t-on quand on aime ? On ne le sait jamais complètement. Voilà la thématique de cette pièce d’Éric-Emmanuel Schmitt. Deux comédiens épatants. Nous avons particulièrement été happés par le jeu solide, imposant de Gilles Droulez. Il n’y a que le talent et le charisme pour nous faire à ce point oublier le théâtre et nous faire habiter l’histoire. Mélina Hoffmann France-Culture: Magistral - L’Express : Les rois du Off - RegArts : Délicieusement cyniques, et terriblement drôles Le Dauphiné libéré : Du théâtre drôle, poignant, surprenant, rebondissant, rythmé… MJO - Midi libre : Remarquable. Un duo passionnant - La Provence : Excellent Vaucluse Matin : Émouvant et drôle - Parrallèle(S) : Eric Emmanuel Schmitt pouvait-il rêver meilleur interprète
Hygiène de l’assassin de Nothomb Bulles de culture : Une adaptation percutante et accomplie; Fanny Corbasson campe à merveille ce personnage tout aussi ambigu. Captivant. Au Balcon : La performance de Gilles Droulez en horrible misanthrope sert parfaitement l’esprit mordant de la géniale Nothomb. Agenda du théâtre : Le public est immédiatement plongé dans une ambiance aussi juste qu’envoutante… Gilles Droulez incarne à la perfection Prétextat Tach qui, derrière son caractère misogyne et misanthrope, laisse entrevoir son humanité. Une véritable réussite. M. Lemoine Radio Nostalgie: Hygiène de l’assassin, ce sont deux comédiens taillés pour le texte dans une mise en scène sobre et efficace, un spectacle parfaitement maîtrisé qui ravira les amateurs de Nothomb.Sebastien Iulianella Europe1 : Porté par un acteur principal extraordinaire, Gilles Droulez »Wendy Bouchard
L’île des esclaves Marivaux Rue du Théâtre : Un texte brillamment mis en vie par la compagnie Les Affamés qui fait le choix d’une mise en scène résolument contemporaine. Politiquement engagée et artistiquement assumée. L’une des plus fortes découvertes de ce festival. Un petit bijou théâtral et politique. Fort bien mené. Urgent à voir… Karine Prost La Provence : Dire que la pièce, création festival OFF 2016, n’a pas pris une ride est un euphémisme. La compagnie Les Affamés en propose une lecture actualisée et réussie, dans un décor épuré à l’extrême. Celui-ci sert à merveille les personnages, dont le jeu est juste parfait. Romain Terpman Bulles de culture : Gilles Droulez, dans le rôle de Trivelin, est impressionnant. Justesse du ton, précision dans les gestes, il campe un bienfaiteur ambigu, tant féroce qu’affable. La mise en scène propose véritablement de réfléchir aux thèmes du lien social, de l’oppression et de la vacuité du pouvoir. Vaucluse Matin : C’est de l’excellent théâtre. Les cinq comédiens donnent toutes leurs tripes pour faire vivre cette histoire et les spectateurs sont au diapason, pris dans cette tourmente et dans cette belle leçon d’humanité.....
Tour de chant Le Dauphiné Libéré : Fanny Corbasson a beaucoup de talent, une voix charmeuse qui fait rêver ! Elle interprète avec un brio une vingtaine de chansons pour revivre avec émotion Barbara. Elle sait capter son public avec sa silhouette, son doux visage, sa voix superbe et son talent d’actrice. M. Vuillard Radio France bleu Vaucluse : Formidable ! La Marseillaise : Cette invitation au voyage est une réussite ! Remarquable ! Claude Hennequin La Provence : Au plus près du verbe. Gilles Droulez est aussi au plus "prêt" de l'esprit de Ferré et des poètes qu'il a mis en musique. Leurs poèmes soulèvent des révoltes essentielles à l'humanité, ouvrent des questionnements fondamentaux de la vie de société, bien au-delà des époques et des modes. Plongée poétique dans nos sous-terrains adolescents, pour se retremper dans le contre-courant aux attitudes bien plus sérieuses qu'il n'y paraît. A·F S Le progrès : Ange et démon Comment dire Rimbaud? Peut-être en le suivant sur la musique chaotique de ses mots, de ses désillusions, de son génie. Pas facile de suivre le livret, tant il est terre de contradictions. Gilles Droulez a creusé au plus profond, dans les entrailles de cette forêt équatoriale de mots, pour en extraire la sève. Masqué par les barreaux d’une cage, galérien de lui-même, ou à l’avant plan, face au public et dardant ses dernières flèches, il n’a pas dit le texte. Il l’a vécu. Un homme seul et de la poésie pour machette. Le pari était difficile. Il fut réussi. Supports au texte ou au chant, étayées de claquements de mains ou de choeurs psalmodiés, les notes de Léo Ferré se marièrent admirablement au blasphème désespéré d’un Rimbaud décidément vivant. Différent et insaisissable. L'Ardennais : Une véritable performance qui a été saluée par de longs applaudissements d’un public véritablement transporté. Patrick Flaschgo LegaArivista : Excellent: grâce à l’atmosphère musicale et aux parfaits timbres profonds, la révélation de cette soirée a été Gilles Droulez, acteur qui porte la scène avec un vrai charisme magnétique, il nous a offert une saine secousse tellurique de poésie; Alessio Le Progrès : Un monde fantasmagorique qui conserve encore son actualité. Le texte fleuve, porté par la musique, se décline en chants, en danses, ou reste simplement parlé. Le verbe et les notes du piano. d’une grande amplitude, égrènent un dialogue du corps et de l’âme à la recherche de l’ éternité. Comme un écho de la part humaine de chaque individu, appelé à l’éveil et à l’insurrection. l’anarchie s’effacent, une force indicible emmène le voyageur vers sa liberté. En un peu plus d’une heure, pas de temps mort : l’intensité dramatique, soulignée par le charisme de Gilles Droulez, vacille entre l’illumination et la folie. La scène se met à l’unisson.. E. STAWICKI