Cie les Affamés

le théâtre comme on l'aime...

TOUR DE CHANTS

FERRÉ ET LES POÈTES

BARBARA, le chemin se fait en marchant

UNE SAISON EN ENFER - ARTHUR RIMBAUD & LÉO FERRÉ

Théâtre tout public - création 2010-2016 durée 1h15 - plateau minimum 4m/3m possible en extérieur
DOSSIER DE PRÉSENTATION:
BARBARA
FERRÉ ET LES POÈTES
UNE SAISON EN ENFER

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BARBARA, le chemin se fait en marchant

Bouquet de chansons aux multiples couleurs de nos âmes, voici une invitation à voyager sur le chemin de nos vies pétries d’émotions, ces émotions qui fleurissent au fil des rencontres et des évènements, nous apprenant toujours davantage à nous connaître et à nous révéler, à aller au cœur de notre être et à lever le masque…
La justesse et la grâce des mots de Barbara nous cueillent chacun sur le chemin que nous créons et inventons de façon singulière et pourtant universelle, le chemin qui se fait en marchant, en osant, en étant.
Un moment intimiste porté par la voix de Fanny dans une interprétation toute personnelle loin des imitations, et la magie de Laurent au piano.

PRESSE : «Fanny Corbasson a beaucoup de talent, une voix charmeuse qui fait rêver ! Elle interprète avec un brio une vingtaine de chansons pour revivre avec émotion Barbara. Elle sait capter son public avec sa silhouette, son doux visage, sa voix superbe et son talent d’actrice.» M. Vuillard Le Dauphiné Libéré
« Formidable » Radio France bleu Vaucluse
« Cette invitation au voyage est une réussite ! Remarquable !» Claude Hennequin, La Marseillaise

FERRÉ ET LES POÈTES

Il nous a paru essentiel de (re)faire découvrir l’oeuvre musicale de Ferré au travers des poètes dont il a su exalter la voix pour éveiller l’imaginaire...
Ferré a toujours su avec son regard acéré sur la société nous transmettre sa propre lucidité, sa révolte, son ironie, son amour. Cette oeuvre d’une extrême poésie et plus que toujours d’actualité est à découvrir, redécouvrir sans cesse...

PRESSE : Gilles Droulez serre au plus près le verbe de Léo. Serre le poing dans l'idée, Tend la main vers son public avec en pour ce spectacle, le plaisir de la découverte. Il est acteur, interprète, c'est à dire ici, véritable metteur en vie, metteur en scène de la poésie de Léo. Gilles Droulez ne fait pas les choses à moitié, des bases artistiques solides, une belle lecture des textes de Léo, font de lui un complice de choix, un guide parfait pour ce voyage vers des chansons à découvrir.
Bonne soirée tous Marie-Christine Ferré

Au plus près du verbe. Gilles Droulez est aussi au plus "prêt" de l'esprit de Ferré et des poètes qu'il a mis en musique. Leurs poèmes soulèvent des révoltes essentielles à l'humanité, ouvrent des questionnements fondamentaux de la vie de société, bien au-delà des époques et des modes. Plongée poétique dans nos sous-terrains adolescents, pour se retremper dans le contre-courant aux attitudes bien plus sérieuses qu'il n'y paraît. A·F S. "La Provence" Avignon 2006

«Je recommande vivement Gilles Droulez aux programmateurs du réseau, particulièrement pour leurs projets liés à la francophonie. Son engagement pour la poésie est si sincère qu’à travers la chanson et le théâtre, il donne vie, sur un mode rugueux qui les rend étrangement authentiques, aux deux grands écorchés vifs qu’étaient Rimbaud et Ferré.
Patrick Penot, Codirecteur des Célestins-théâtre de Lyon et ex. directeur de l’Institut Français de Varsovie

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UNE SAISON EN ENFER - ARTHUR RIMBAUD & LÉO FERRÉ

Une saison en Enfer - Arthur Rimbaud
mise en scène Gilles Droulez, assistante mise en scène Fanny Corbasson, costumes Stéphane V,
création lumière Davy Dedienne, avec Gilles Droulez, au piano Laurent Andary

« Une saison en enfer » est à la fois une quête et une crise: quête de la « vérité », de la réalité, crise d’un jeune homme et d’une société, crise du langage, de la culture et de la foi, crise d’un siècle en somme. Crise, c’est à dire jugement: jugement porté sur ce qu’on a cru, désillusion qui conduit à l’initiation, à la « liberté de posséder la vérité dans une âme et un corps »! Sur les mélopées de Ferré, un texte fort, résolument moderne et vivant!.

PRESSE : Ange et démon Comment dire Rimbaud? Peut-être en le suivant sur la musique chaotique de ses mots, de ses désillusions, de son génie. Pas facile de suivre le livret, tant il est terre de contradictions. Gilles Droulez a creusé au plus profond, dans les entrailles de cette forêt équatoriale de mots, pour en extraire la sève. Masqué par les barreaux d’une cage, galérien de lui-même, ou à l’avant plan, face au public et dardant ses dernières flèches, il n’a pas dit le texte. Il l’a vécu. Un homme seul et de la poésie pour machette. Le pari était difficile. Il fut réussi. Supports au texte ou au chant, étayées de claquements de mains ou de choeurs psalmodiés, les notes de Léo Ferré se marièrent admirablement au blasphème désespéré d’un Rimbaud décidément vivant. Différent et insaisissable. LE PROGRÈS
Une véritable performance qui a été saluée par de longs applaudissements d’un public véritablement transporté. Patrick Flaschgo L’ARDENNAIS
Excellent: grâce à l’atmosphère musicale et aux parfaits timbres profonds, la révélation de cette soirée a été Gilles Droulez, acteur qui porte la scène avec un vrai charisme magnétique, il nous a offert une saine secousse tellurique de poésie; Alessio LegaArivista.
Un monde fantasmagorique qui conserve encore son actualité. Le texte fleuve, porté par la musique, se décline en chants, en danses, ou reste simplement parlé. Le verbe et les notes du piano. d’une grande amplitude, égrènent un dialogue du corps et de l’âme à la recherche de l’ éternité. Comme un écho de la part humaine de chaque individu, appelé à l’éveil et à l’insurrection.  l’anarchie s’effacent, une force indicible emmène le voyageur vers sa liberté. En un peu plus d’une heure, pas de temps mort : l’intensité dramatique, soulignée par le charisme de Gilles Droulez, vacille entre l’illumination et la folie. La scène se met à l’unisson.. EMMANUEL STAWICKI  Le Progrès